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APPC

Le 19 mai 2017 - En prévision de l'Assemblée Générale de l'ULIF

À titre individuel, il a été demandé que les questions suivantes soient inscrites à l’ordre du jour (dans les « questions diverses ») de la prochaine Assemblée générale (dont la date n’a pas encore été communiquée) :


QUESTIONS PORTANT SUR LE PROJET

1. L’agence Valode et Pistre a-t-elle fait des propositions pour préserver la salle de culte actuelle, dont la valeur historique

et architecturale est remarquable ? Si oui, pourquoi elles n’ont pas été publiées ? Si non, quelles sont les raisons de cette

décision ?

2. Quelle a été l’issue du dialogue avec les Architectes des Bâtiments de France sur ce projet ? En effet, normalement l’ABF

doit être avisé sur le fait que cette démolition entrainerait la perte d’un « patrimoine historique existant » qui n’a jamais

été auparavant rendu public. Ont-ils été informés de l’état existant de la salle, ont-ils reçu une documentation destinée à

l’informer à ce sujet?

3. Le CA vient de refuser de recevoir des propositions visant à préserver le patrimoine de l’édifice, et qui auraient pu,

éventuellement, permettre une entente entre tous les membres de cette assemblée. Pouvez-vous nous dire des raisons de

ce refus ?


QUESTIONS PORTANT SUR LE BUDGET

4. Ce projet engagera nécessairement des frais considérables. Serait-il possible de savoir quelles sources de financement

sont envisagées, et quelle durée est prévue pour payer cette construction ?

5. Des fonds ont déjà été engagés pour l’élaboration des projets de construction par deux cabinets d’architectes. Quelles

sommes ont déjà été dépensées ? et ont-elles été prélevées dans la trésorerie de l’ULIF ?

6. Sur quels fonds seront payées les études préliminaires – aussi bien celle de l'architecte Grumbach, déjà abandonnée, que

celle de Valode & Pistre – au cas où elles devaient ne pas aboutir ?

7. Est-ce que le coût de la reconstruction de notre synagogue, à partir d’une table rase, entraînera une augmentation des

cotisations et des « participations aux frais » des activités ?

8. L’ULIF sera-t-elle obligée de contracter des emprunts ? Si oui, combien, et sur quelle durée ?

9. En cas d’emprunt, les fidèles seraient-ils tenus d’assurer tout ou partie du remboursement ?

10. L’intégralité des sommes nécessaires sera-t-elle levée avant le début des travaux ? Est-on à l’abri du risque de ne

pouvoir continuer les travaux « en cours de route » par manque de moyens ? Et si tel était le cas, que deviendront les

dépenses considérables déjà effectuées ?


Aucune réponse ne fut donnée à nos lettres et, lors de l'Assemblée générale, toute discussion fut refusée (au motif qu'elle avait eu lieu lors de la « réunion d'information » du 28 juin.

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