Et si le “vrai” Copernic était ceci ?
On connaît les ornements en bas-relief de la salle de culte, mais on ne peut les apprécier à leur juste valeur sans les dorures qui, sans doute, étaient visibles autrefois sur les marguerites près du plafond – en écho à celles sur les montants et le linteau de l'Aron ha-Qodesh (l'Arche sainte) – autour du Magen David (Étoile de David) qui surmonte ce dernier et, enfin, au-dessus et en dessous des inscriptions hébraïques. L'hypothèse de reconstitution ci-dessous cherche à rétablir une part de l'équilibre esthétique d'origine.
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